« Passionné par la psychologie et les comportements humains »
Une scolarité compliquée Enfant, on me disait souvent ailleurs, « à l’ouest ». Pourtant, j’avais l’impression que c’était l’école qui n’était pas adaptée ; que le monde était déconnecté. Résultat : j’étais plutôt brillant en primaire mais déplorable à partir du collège. Et selon certains profs, je ne ferai rien de ma vie. Sauf que moi je savais que si, j’y arriverai. Qu’est ce qui me faisait croire ça ? Aucune idée. Et j’étais le seul à le croire.Le lycée n’a rien changé. Étudiant en logistique et commercialisation, je ne me rappelle pas avoir appris quoi que ce soit.Heureusement, il y avait les livres dans ma vie. Passionné de lecture depuis petit, j’y ai toujours trouvé des idées et des connaissances. Un peu comme un grand maître lèguerait son savoir via un parchemin. Et ça m’aide ! La culture, l’imagination, l’expérience… Les possibilités de transmission d’un livre sont sans limite.
Une vie active crescendo
Avec un BEP, un bac pro et un CAP, la recherche d’emploi n’a rien d’exaltant.
Trop jeune ou pas assez qualifié pour les postes intéressants, mes seules options semblaient la préparation de commande ou les missions de caristes, dans un monde précaire dénué d’humanité.
Mais je savais qu’un jour quelque chose allait changer.
En 2014, une première personne m’embauche en CDI. Cela me donne envie de m’impliquer dans mon travail, avec mes collègues, de proposer des améliorations, de nouvelles manières de faire. Et ça marche ! Quelle aubaine de se voir reconnu pour ses idées ! Au bout de 4 ans, je connais sur le bout des doigts les postes de mes 14 collègues.
Ma soif d’apprendre est toujours là. Il m’en faut plus.
Il m’en faut plus.C’est comme arriver à la fin d’un livre et savoir que la suite est dans le prochain. Ou comme la fin d’une saison d’une série haletante, avec une promesse pour la saison 2.
Leadership et formations A ce moment-là, je veux donc partir. Mais ne sais pas quoi faire, comment me vendre, où chercher…Un jour, alors que je rends service à une dame devant chez elle, elle me demande de lui exposer ma vie du moment. Elle travaillait à la Chambre de commerce et d’industrie d’Émerainville (77) et connaissait très bien le monde du travail. Elle me propose donc de m’aider à faire mon CV, ma lettre de motivation et travailler mes entretiens.Grâce à elle, 6 mois plus tard, je suis embauché comme chef d’équipe dans le Groupe La Poste ! A 24 ans, je dirige alors un service de 12 personnes d’une moyenne d’âge de 48 ans. Cette expérience, difficile au départ, s’est avérée un apprentissage hors du commun.1 an plus tard, je partais avec les honneurs sous les applaudissements de tous mes collègues !
Le temps des perfectionnements Je prends alors en 2016 un poste de responsable de centre. Avec 3 services et une équipe de 25 personnes. L’ambiance du premier jour est électrique : tous sont en grève et on avait oublié de me prévenir !Apparemment, il est alors de mon devoir de tout remettre en ordre. J’apprends la négociation avec les syndicats. Et tout se passe bien. Fin de grève, retour au travail et bonne ambiance. Et oui, quand on écoute les salariés, ça va mieux !A partir de ce moment-là, je prends conscience que chaque mot utilisé peut motiver, décevoir, fédérer ou diviser. Et je me sers de mes lectures car hors de question de faire les choses à moitié. La prise de parole en public ne s’improvise pas. Je lis des livres sur les plaidoiries d’avocat, la communication, la négociation, la prise de parole éloquente, la posture, le langage verbal et non verbale, le choix des mots… Et ça porte ses fruits ! Nous devenons le meilleur bureau de Seine-et-Marne et intégrons le top 3 d’Île-de-France. Je me rappelle cette fois où un délégué syndical est venu pour inciter à la grève et où les équipes ont répondu « nous on est bien, on a besoin de rien de plus ». Quelle fierté !
Transmettre et toujours se former Mon savoir-faire est sollicité dans d’autres centres. Le journal interne du groupe évoque mes idées. On me demande d’intervenir auprès des syndicats, des commerciaux… Résultat : mon équipe gagne 10 personnes, atteignant 35 collaborateurs après mon arrivée. La direction me propose alors de gérer la « tête de plaque » ; c’est comme le siège d’un groupe. J’accepte, découvre ses 75 collaborateurs, ses 4 chefs d’équipes et y reste une année. L’avantage dans cette grande structure, c’est que les formations sont nombreuses. Et comme j’avais une immense envie d’apprendre, j’ai eu accès notamment à :
La communication positive
Mener un entretien d’embauche (plus de 50 entretiens réalisés)
La conduite du changement
La réalisation des entretiens individuels
La négociation & les techniques de ventes
La conduite et l’animation de réunion
La prise de parole d’équipe
Monter en compétence ses collaborateurs
Dire que ce n’était même pas obligatoire et que les cessions de formation peinaient à être remplies…En 2019, nouvelle proposition acceptée pour un nouveau secteur à Melun, la « tête de plaque » régionale, avec 250 collaborateurs et 7 services différents.Nouveau challenge avec la COVID, imaginer et adapter les postes de travail à tous.
Une nouvelle aventure vers l’entrepreneuriat Je me trouve un jour épuisé par ces années intenses ; avec une direction lente, inefficace et difficilement modifiable ; des promotions non méritées ou imposées ; de l’injustice dans la valorisation des salariés. Une nouvelle fois, je devais partir… Mais pour quoi ?Je commence alors à mieux me connaitre. J’aime la communication et l’impact qu’elle peut avoir ; résoudre des problèmes personnels ; je suis passionné par la psychologie et les comportement humain ; et je suis plus que jamais attaché à apprendre, comprendre, transmettre… L’idée de l’hypnose s’est donc imposée d’elle-même. Discipline à usage thérapeutique, mêlant communication, compréhension du comportement humain, psychologie… j’ai suivi la formation jusqu’au niveau le plus haut possible.La Programmation Neuro Linguistique vient ensuite, avec ses méthodes de communication d’influence, ses thérapies basées sur le cognitif. Et enfin, les neurosciences, le cheminement du neurone, le fonctionnement du cerveau et des hormones, ce qui les déclenchent…Là où certains mettent des années à tout apprendre, il m’a fallu quelques mois. On m’a demandé comment je faisais tellement c’était dense ; si j’étais haut potentiel intellectuel… Mais vous savez : quand vous faites une activité ou que vous apprenez une chose passionnante, vous pouvez y passer des heures. Et nul besoin d’un haut potentiel pour être passionné.Les biais cognitifs sont également passionnants. On en recense environ 250, mais savoir tous les tours que vous joue votre cerveau est fascinant. Hyper impliqué dans mes formations, j’ai été remarqué par le directeur. Il m’a proposé un test pour évaluer si je pouvais enseigner dans son école. Lors de mes sessions de formation, une question de la part des stagiaires revient régulièrement… Comment s’installer à son compte ensuite ? Où trouver les clients, se faire connaître ? Par quoi commencer ?
Et aujourd’hui J’ai donc accompagné de façon individuelle les stagiaires qui souhaitaient lancer leur activité.Je me sers maintenant de l’ensemble de mes compétences pour accompagner dans la création d’entreprise, la gestion émotionnelle, la communication, et à l’ensemble des compétences permettant de réussir ses objectifs.Dans la vie, pour réussir sa vie, on a généralement besoin :
De communiquer efficacement avec les autres
D’apprendre à gérer ses émotions, ses troubles, ses addictions
Se connaître parfaitement pour comprendre ce qui nous rend heureux
Comprendre son fonctionnement et celui des autres
Apprendre, comprendre et pratiqué
Chaque personne avec un objectif donné doit pouvoir repartir avec :
Conclusion : parfaitement aligné Mes nombreuses expériences avec l’humain m’ont fait explorer sans cesse de nouvelles méthodes et compétences, afin de m’adapter efficacement à chacun, avec un large panel de solution et de conseil.Les séances individuelles peuvent, en fonction de la problématique, être agrémentées de thérapies. Par exemple, se faire accompagner dans la création d’entreprise avec une estime ou une confiance en soi au ras des pâquerettes peut être très délicat. « Reprendre du poil de la bête » permettra d’atteindre ses objectifs plus efficacement, plus facilement, en limitant ou supprimant le risque d’abandon du projet.
